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Il Était Une Fois​.​.​.

by Les Parasites

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1.
Parasite (s) 03:51
Moi j’ai ma place ici, autant que je me place easy Comme la faune et la flore dans les pesticides John Merrick à mister univers, L’arrivée à Lilliput de Gulliver J’suis le barreau manquant de l’échelle, l’étincelle chez Shell L’attentat pâtissier dans la gueule de BHL Le premier à chier avec l’odeur traçable Le loup dans l’étable, le 13e à table Dans ma discipline, je suis comme la glycine La merde qui flotte au milieu de ta piscine J’suis ton smegma, ta gastro sans Smecta La crampe quand la meuf te dit « non car ce mec m’a ! » Le puceau respectable dans la partouze Celui qui mène qu’une bière mais qui les descend par douze Le parasite qui dans ton corps se propage Représente la couille dans le potage ! Casseur d’ambiance, quand je rentre dans la danse Le terme décalé reprend tout son sens Ouais, reprenez tous ensemble : « Je n’invite plus Ramel » Avec lui, c’est toujours la même ! En pleine bringue parle politique, titille les papas racistes Appelez les paparazzis, poh poh parasites ! J’en remets une par la zique, par la suite Tu dis pas t’es pas prévenu, c’est réel pas magique Messager en colère, pourtant je m’assagis Mais j’arrive pas à fermer ma gueule, putain de maladie Quand je l’ouvre ça s’agite, dans ce corps étranger gravite Je me préserve, je me fais rare comme une entrée gratuite La jeunesse part vite, heindek tu m’appelles papy Le bordel s’organise sur le parvis Pas le genre dans les bouchons à jouer du klaxon Mais devine dans ta soirée qui scande « tout le monde cautionne !! » Refrain : Rappeurs commis d’office, voilà les deux connards Inconnus dans l’rap qu’ils érigent comme art ! Qui résiste ? Qui persiste ? Ramel et Zorba…Poh ! Poh ! Parasites ! Rappeurs commis d’office, voilà les deux connards Inconnus dans l’rap qu’ils érigent comme art ! Eloignez les ménagères, on prépare la suite… … Parasites Je suis la blague pipi caca, l’intello pas assis Moi ici comme un groupe de lapins en Australie Le mec cool de la PJ, le larsen de la régie Je suis Régis (en plus con), ta nouvelle allergie Ribéry dans un débat, Gandhi en MMA « Vous pouvez appeler un amis » … j’réponds pas Même si je connais la réponse… J’suis le réveil stressant qui sonne quand tu pionces Le mec trop calme quand il faut mettre le oaï Le connard dans le film qui vient mouiller le mogwaï La seule graine OGM de la pépinière Hellboy qui s’invite à la fistinière Je suis ton fils d’hier : capote périmée, Une crasseuse rhénée et dans neuf mois t’es père ! J’arrive comme un contrôle surprise de prostate Et reste à ma place comme Rosa Parks ! Refrain Casseur d’ambiance, quand je rentre dans la danse L’expression « tu m’as saoulé » reprend tout son sens Ouais reprenez tous ensemble : « Je n’invite plus Ramel » Avec lui, c’est toujours la même !! Un aimant à rageux accro aux plans à l’arrache Un paratonnerre si le temps est orageux Le genre de gars qui fait peur aux viocs’ quand il rappe Qui court après une teille comme les gosses en Irak Quand j’arrive dans ta soirée, y’a que 2 issues, t’es prévenu ! Soit des instrus, soit « le combat continue » Un vrai gremlin’s, pas de ceux qui se griment Je serais toi, je planquerais la pillave après minuit C’est avec minutie et peu de munitions que je t’initie Parasite, pas pareil et pourtant né ici Ouais, je braille pendant que les modérés restent assis Parasite, c’est ma définition de MC …
2.
On ne sait pas de qui tu parles quand tu dis « provincial » 120 minutes de retard : C’est le quart d’heure provençal Façon guide du routard si tu foules nos dômes On a le meilleur des théâtres dans nos boulodromes On a la tchatche facile volume inclus On a bien envie de rire quand tu parles pointu On a pour coutume de bavarder avec les mains Quand certains trouvent ça plus facile de le faire avec les poings Allez viens mettre la tienne, on est tous en exode Tu trouves qu’on exagère, on a juste pas les mêmes codes ! Et je déconne qu’à moitié, trop entier pour leurs normes On a le « css css » comme métronome quand vient l’été. D’où qu’on soit on a qu’un seul trou pour chier mou Et comme chez vous : beaucoup de cons chez nous ! Donc bat les couilles des rageux, des ravis, des envieux On fait on est pareil que toi mec… mais en mieux ! Il était une fois le 13 mec… il était une fois le 13… (X3) Donc bat les couilles des rageux, des ravis, des envieux, en fait on est pareil… Entre les cagoles, les faux derch' et les saixois Les Gaudin, les Guerini et leurs caisses noires Partie de pétanque, coup d’estanque, 51 dans la gourde Massilia " Dimanche aux goudes " si l'ambiance est trop lourde En tatane, petit sieston sous le platane Quand y'a des liasses en pagaille, c'est pas par là que ça se pavane T'as dû t'égarer gari, tu cherches l'odeur de la mer A part " pétrole beach " ici, pas de stations balnéaires Et non, y'a pas de magie, mamie Pour pas finir sur le carreau on pète tes économies Au tarot, au rami, bienvenue chez les rats morts Ça boite ou ça contre, au bluff, y'a pas d'amis Entre la ciguë et les cigales sous le mistral Si elle était si belle, y'aurai pas Le Pen sur la carte postale La nuit tombe, la bac, les rondes Ambiance de western, il était une fois le 13 Il était une fois le 13 mec… il était une fois le 13… (X3) La nuit tombe, la bac, les rondes Ambiance de western… Entre nos familles, nos amis et une étoile sur le maillot Personne, Rosco et une plâtrée de fayots Mentalité samouraï, kebab, harissa, mayo La tchatche et l'haleine parfumées à l'aïoli Elevés à l’huile d’olive, à l’ail et aux épices Marre d’endurer tes parodies pagnolesque « Tempérament fatigué » quand la chaleur nous épuise Odeur anisée, on a soif, paie ta moresque ! Terre d’asile, terre d’accueil, de Arles à Aubagne La gagne dans le sang, à l'unisson ça cri " aux armes " On a la sale réputation, fada, quand on s’encagne. L’impression de gêner… mais on s’encague ! Doigts de pied en éventail entre la noisette et la sieste Ça serait la vie de rêve mais il faut bien remplir l'assiette Car ici y’a « collègues » même si pas de boulot, Et tu passeras le bonjour à ta France d’en haut ! Il était une fois le 13 mec… il était une fois le 13… (X3) Car ici y’a « collègues » même si pas de boulot, et tu passeras le bonjour à ta France cousin !
3.
Avec mon âme d’athée, ma trame ratée, mes doutes et ma faim Trop old school pour certains, je reviens avec mon rap daté Aux clashs de cours de récrés ? Abonné absent ! Ça m’emmerde autant que peut te le faire mon accent ! Au moins les wacks d’antan me faisaient marrer plus Désolé si je bosse mes textes au lieu de bosser ma réput’ On en est là : chut ! A chaque démo, vé le crew Des Parasites c’est la chute d’une blague de mauvais goût ! Si tu kiffes tant mieux, mais je m’en tape si t’aimes pas Car comme Rocé « je rappe pas pour être sympa » Pas de copinage, pas l’âge de quitter le sillon Et si tu me parles de « pouvoir » je préfère le verbe au nom ! Revois ta diction mec, ton français bat de l’aile MC, garde ton swag et achète-toi un Bescherelle. Tes tubes de l’été ? Je te les laisse, Et vas y danse ! Dans les fins fonds de l’underground j’y ai élu résidence Plus de vingt piges que je suis là, à tâter le mic à l’évidence Et ouai minot, Pascalides c’est papi fait de la résistance ! Donc oublie : bitchs, porsches, et bigs salaires Dans la grande majorité les rappeurs sont en galère Avec mes gars, l’air de rien, on avance comme on peut Avec les moyens du bord, vise le soleil quand il pleut. A coup d’huile de coude et sans trop de thunes, On vient remettre au gout du jour le rap sans auto-tune !
4.
Aphone 04:08
Degun m’écoute… l’impression d’être aphone Alors qu’à côté ça gueule fort dans un mégaphone A chaque S.O.S dénonçant l’insupportable, Ton voisin aura sûrement éteint son portable. Au portal des richesses le partage s’appauvrit A plus de valeur humaines ici, y’a le profit Et la même poussière dans le fond des poches d’anoraks C’est l’oligarchie, et pour ces ânes on raque ! Pour nous, dans ce schémas, y’a rarement de places assises Et ceux, qu’on soit seul ou qu’on se déplace à six. Dur de suivre, joue pas les sensibles Car ça tire à balles réelles et sans cibles Sur fond de meeting à la Charlton Eston Le peuple, lui, quand les chars tonnent est stone. Les leçons de la guerre, parquées en fourrière : Les tortures passées et ceux qu’on foutait au four hier… Refrain Méga fort sur les temps, coincé dans le métagame Mégaphone dans la foule, histoire de calmer ta haine Qu’on soir clair, tout le monde s’en branle de tes discours Aphone dans un monde de sourds C’est à croire que les minces lueurs d’espoir s’estompent Et nos illusions sans cesse tombent… Mouvement de masse une fois le feu à l’étable. Car une foule effrayée est une foule malléable. C’est la source du pouvoir, frère Et ça les ravi : faire claquer le fouet du haut de leur salaire à vie Sans se salir avec « le bruit et l’odeur ». Le tout orchestré dans un climat de peur Et ça va de pair, dans l’ère du racolage Qu’importe l’âge, l’essentiel c’est que ça ratisse large Devant le transistor ; Au premier cri dans la rue se ferment trente-six stores ! Logique des œillères et de la ruée là où le magot gît Et dans les bouches ça pue la démagogie. A l’échelle d’une ogive, ou d’un taquet dans les gencives C’est ce qui les arrange ce que les gens suivent… Refrain Depuis que l’homme est homme, il salope le décor Accordant à la vie moins de valeur qu’à de l’or Opérant le matricide dès ses balbutiements Aperçoit une forêt que déjà il bave du ciment ! Seul au volant, en groupe dans un stade, Isolé dans la foule, érigé sur l’estrade, Tu peux voir sa connerie t’asphyxier gentiment Et ça se parfume à la haine au nom du bon sentiment ! Sur chaque centimètre d’avancé on se vautre, A écraser l’autre, pour se sentir être. Putain d’égo ! Pour élever son ratio On devient juge et bourreaux sur nos réseaux sociaux A comparer la souffrance de nos ancêtres Concours indécent pour glauque mise en scène. Egaré dans cette pensée discount J’ai plus la voix, j’ai plus le temps, j’ai plus le discours… Refrain
5.
Perdu dans mes pensées, la vérité, j’sais même pas par où commencer Dans ce pays y’a que sur les papiers que je suis français Ici beaucoup de Zemmour, Peu d’amour, beaucoup de Soral , Peu de morale En équilibre sans savoir sur quel pied danser Rupture momentanée de ton Big Brother de merde, mais t’inquiète Dans le clip défileront Nabila, Amel Et quitte à faire dans le mauvais goût, jouer le mauvais gars J’ferai l’arbitre, et elles un combat dans la boue Survis dans l’abus, brûle ma vie par les 2 bouts Mon son, mes déboires, un pansement sur une jambe de bois De l’abîme, peu de vues, guette l’horizon par le bruit Et jamais à l’abri de la perdre pour une belle brune Perdu dans la brume, au mauvais alcool abruti Les clichés collent à la peau, à moi tout seul un préjugé Ferme la bouche, remballe cette gueule d’ahuri A croire que t’as jamais entendu un mec rapper en français Pas de clash, la maternelle c’était y’a 30 piges A défaut de mentir, j’rappe comme je respire La fierté de ma famille, belek un jour du 13 Mais ce jour-là, l’ami, ne viens pas me faire la hass De retour de chez Hadès, si tu crois que c’est des fables je t’envie De ne pas connaître l’infamie La fierté de ma famille, belek un jour du 13 Mais ce jour-là, gari, pas de bise, pas de sketch …
6.
Ex2S 03:41
Bienvenue dans notre bulle, ce soir l'unique but C'est de balancer pour nos kifs un coup de pub Sur le Beat, funambule ; A coup sûr la rechute Immobile, espérant trouver la sortie du cube C'est pour les somnambules qui aiment le son brut Ramel et Zorba débarquent sur le Tube Trop petites sont les cases, éphémères sont les modes On garde nos Bases et nos Codes ; Aelpéacha à la Prod C’est le retour des nouveaux venus que personne n’attend Les vieux cons scandant : « c’est la même qu’avant ! » A côté de la plaque et les deux pieds dans le plat Moi je danse, j’attends le prochain track ! Micro dans le sac pour pourrir ta soirée, J’ai plus qu’à m’assoir et faire ma bête noire Aigris ? « T’as rien vu !» On prépare la suite… Fallait pas inviter : LES PARASITES ! Refrain Si tu rentres dans mon cercle, mentalité correcte exigée Ici le temps s’est figé Caricature inutile dans le trait C’est pour tous ceux pointés à la porte d’entrée On doit pas avoir la classe de Georges Abidbol Moi j’ai le groove dans la tête, pas dans les guiboles Merci aux videurs qui m’ont épargné ça, Façon Gandalf : « Tu ne passeras pas ! » Contre-culture en marche, Etat d’esprit intact Décalage, passement de jambes pour éviter les tacles Avec notre passion on a signé un pacte Redoubler d’efforts à chaque nouvel obstacle Le culte de la niaque avant celui de la gagne, Je me magne… Graphomaniaque ! Comme un gars d’Hypokhâgne à l’approche d’un test, Pendant que tu me parles j’pense à mon prochain texte ! Refrain Du lourd à la Prog' n'aie pas peur, Approche ! Rien de pire qu'1 public façon Roland Garros Pas de regard féroce pour travailler le Skill Simple Exercice 2 Style Idées reçues mises en boîte et finalement traînées N'en déplaise à sa soirée rhénée !! J'vais pas renier ce que je suis pour serrer des pinces Comme tous ces rappeurs qui se mettent à la Dance A la dech’ comme souvent, et pour fuir le seum : « Peace, unity, love and havin’ fun! » Retour à la base, devise de ma team. J’te présente la vitrine et après je bois Et yo lady, je suis le fils illégitime De Slim Shady et Paul Préboist ! Après 2/3 passages sur des sites de fesses J’retourne gratter mes Ex.2S ! Refrain
7.
Refrain : Un dernier tour de piste (x3) Rien à battre qu'on me dise chapeau l'artiste Un dernier tour de piste juste pour le kif Une dernière fois pouvoir faire briller mes principes Tu sais, la vie d'artiste, dans la rue c'est l'anonymat Job alimentaire et agonie man Malgré ça, la mienne, j'en changerai pas un ïota A l'envers, l'histoire, ne pas refaire / Maître Yoda La même rage que Yaniss Odua Comme lui j'garde le smile et te ramène que la vibe On a jamais vu le succès mais l' a t'on vraiment cherché ? Quand j'écris pas, j'commence à me faire chier J'ai plus le temps, mes cernes me donnent l'heure Et j'aborde chaque texte comme un baroud d'honneur J'aime les sons à l'ancienne qui remuent les trippes Et les playbacks mec, c'est que pour le clips ! La dalle et l'espoir d'un chômeur en fin de droits Un dernier tour sur la piste... coucou c'est moi ! Refrain Aujourd'hui, j'en suis à un stade Où j'en ai plus à battre de faire mentir les stats Ambiance centre ville, fin des années 90 Break street 84 et craquements de vinyles Dans la fosse ou sur la piste ... Casseur d'ambiance commis d'office ... En hors piste, toujours un train de retard J'crois qu'on fût vieux trop jeune et jeune trop tard Envoie l'artillerie, et au bon BPM Mon plan Marshall ? Un album d'Eminem ! J'ai fredonné mes airs et ça marche mal Bien rapper ne suffit plus en fait c'est même plus nécessaire Tant pis... j'prends du rab de milf On continuera juste pour le kiff... Refrain Dans ma course contre Chronos je sens le Clap de fin nous rattraper J’te l’ai déjà dit : Moi je suis brut mais sans le « E » Le monde tourne, certains parlent. Nous on fait ! Tuto par l'exemple, quitte à se répéter On le devait aux ados qu'on était Nul besoin de projos pour me sentir vivant Mais ça m'empêche de kiffer l'instant présent Pour procrastiner j’suis ceinture noire Du genre en retard à mon propre enterrement Tant de concepts en stock remis à plus tard Que j’abandonne quand d’autres les sortent avant. 20 ans à taffer dans l'ombre, à rien faire dans l'ordre A se faire railler par des minots aux dents longues Les promesses n'engagent que ceux qui y croient Juste un dernier et après j'rentre chez moi ...
8.
Plus de permis, plus de taf, et même plus de potes Avoue, t'y a cru que j'allais débarqu' en voiture de loc' Indiqué dans le nom, c'est voué au crash Mais quitte à se mettre dedans, autant le faire avec classe Wesh, rien à battre du débat entre boom bap et trap C'est sur pièce qu'on jugera le track "Oh, plus souvent dans les tribunes que sur l'estrade" Je te l'ai dit, c'est tout tracé, ça va passer à la trappe... Check, 1,2,1,2 c'est prof et grincheux Les Poulidors en partant de la fin du rap jeu J'attends le gong de l'happy hour, après j'me taille Avec mon style à la ouanegaineubistoufly Haleine au pistou, pour la superbe Pas appris à gagner mais j'ai su perdre. Ma réussite, j'la laisse ici Un genre de biopic signé : Alan Smithee Refrain : Tranquille, la pression connaît pas Continue à zoner dans les parages Quitte à se mettre dedans, autant le faire avec classe Moi je raterai ma vie avec panache Tranquille, la pression connaît pas Continue à zoner dans les parages Quitte à se mettre dedans, autant le faire avec classe De gré, de force, tu retiendras le blaze On reste discret comme des marseillais au ski En peignoir, gueule de bois, façon duc Lebowski J'fais tâche, pas arrivé que je suis déjà tricard J'débarque avec la glacière et le bob Ricard On a des principes... qu'à cela ne tienne ! Nous on ne part pas tant que le patron paie pas la sienne ! Tes plans caraques ? T'en parles à d'autres, Fallait pas test Perceval et Karadoc ! Oh putain ! déchaînés, les enfoirés Comme toute bonne histoire ça commence par "il était une fois" Pas couleur locale, dans le décor j'fais tâche Ouais, j'fais ma pub, dégun le fera à ma place Sur un coup de bluff c'est tapis pour pas finir sur la touche Ou danser le mia à la plage Ça ha le beau gosse si j'ai le temps de prendre une douche En attendant, ils me suivront tous à la trace Refrain Hey yo, hey yo, on te l'avait dit, fallait pas sortir l'animal de la cave Désolé ma belle, je me suis pas rasé pour l'occas' Toujours pas sponso par une méchante marque de sapes A la pointe de la tendance, dégaine en vrac ! Le moins connu des pas connus, à en croire mes potes J'peux déposer le concept au Guinness Book des records Cautionner ? Non en vrai, Tout le Monde s'en branle ! Mais j'me console en me disant que j'suis mauvais Vu que tout discours est caduc, j'carbure au mieux Dans cette France de Shadocks : GA BU ZO MEU Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? Je suis un gars besogneux Qui tente de faire le tri dans ses abus d'homme J'élabore mes plans machiavéliques pour échouer Y’aura pas d'album : simplement le bêtisier Des daubes des Dub et Dumber de la musique Ramel et Zorba : Loosers Magnifiques. Refrain

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credits

released November 13, 2020

Enregistré au studio Le Chantier par ORPHÉ, sauf 7 & 8 : Black Pearl Studio - MICKLO
Mix et arrangements AELPÉACHA, sauf 8 : MICKLO
Mastering AELPÉACHA
Artworks LOSEOU

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LES PARASITES Provence-Alpes-Côte d'Azur, France

Débarquant de leur Provence natale, ZORBA, le prof psychorigide, et RAMEL, le râleur compulsif reprennent du service.
Loin des clichés et de la tendance actuelle, LES PARASITES puisent leurs inspirations et leurs références dans le rap des années 90, dans un style mêlant Boom-Bap New-yorkais et G-Funk californien.
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